Au nord de l'equateur
Toujours en équateur, je continue d’explorer les richesses d’Amérique latine. Avec un peu moins d’enthousiasme je dois l’avouer car mes découvertes me surprennent moins.
En effet l’Equateur a beaucoup en commun avec le Pérou, de part sa proximité et sa culture indigène assez semblable. Pourtant il est tout de même beaucoup plus occidentalisé, il me semble, subissant une influence américain flagrante, ne serait ce que par sa nouvelle monnaie le dollar US.
Après avoir quitter Quito, contrairement a ce que j’avais prévu au départ à cause de temps passé à la recherche de billet d’avion pour Cuba plus longue que prévue, j’ai pris directement la direction du Nord, sans passé par la case midad del mundo.
Mes pas, ou plutôt les bus, m’ont conduit à Otavalo, à 2h de Quito et à Ibarra, à 45 minutes de plus.

Hier fut une journée très chargée. Le matin a 8h j’avais rendez vous avec le train le plus fou du monde d’après le routard: El Tren de la Libertad.
En fait un ancien bus monté sur roues de train et empruntant les rails d’une voie maintenant inutilisée par les transports classiques.

Il emmène dans un autre monde, d’un autre temps! Traversée de champs de cannes à sucre, de villages, de tunnels et de ponts surplombant des rios a plu de 200m de contrebas…





Très joli et agréable!
Retour à l’arrière d’une camionnette d’un local le bus tardant un peu trop. Epique!
Dans cette région la population est en majorité noire car au 16 ème et 17è me siecle bon nombre d'escalves africains ont été amené dans cette partie de l'equateur pour la culture de canne á sucre. Reste leurs descendants et une culture métisée afro-indigène.
Pas le temps de trainer, car je veux aller au plus grand marché d’équateur à Otavalo, qui se tient tous les samedis. Immense, de l’artisanat (assez cher du fait du dollar) très joli à perte de vue, des touristes mais aussi des locaux venus faire leurs courses sur le partie moins touristique du marché…
Et finalement le soir j’ai assisté à un spectacle assez particulier, sport national en Equateur : le combat de coqs! Les gens y viennent avec leur coq ou pour parier sur les combats. Les coqs sont équipés de petits couteau que l'on fixe sur leurs pattes


Je pense découvrir aujourd’hui la mitad del mundo, à 1h d’Otavalo, ou j’espère passer la nuit et la journée de demain! Avant de rentrer dormir sur Quito car j’ai un avion Mardi soir pour CUBA!!!!
Il me tarde vraiment d’y aller pour voir de mes propres yeux ce pays si controversé et mythique! Même si j’avoue aussi que j’ai très envie aussi de rentrer retrouver les miens. Mais je veux vraiment pofiter des derniers instants de mon voyage: plage, plongée j’espère, cigare et révolution. Hasta la victoria, siempre!
P.S.: J’ai acheté un nouvel appareil, le moins cher possible dans les potables, qui me permettra d’immortaliser quelques scènes cubaines, mais malheureusement celui-ci est de mauvaise qualité donc je n’ai aucun plaisir à prendre des photos… D’où très peu de photos de l’équateur!!
En effet l’Equateur a beaucoup en commun avec le Pérou, de part sa proximité et sa culture indigène assez semblable. Pourtant il est tout de même beaucoup plus occidentalisé, il me semble, subissant une influence américain flagrante, ne serait ce que par sa nouvelle monnaie le dollar US.
Après avoir quitter Quito, contrairement a ce que j’avais prévu au départ à cause de temps passé à la recherche de billet d’avion pour Cuba plus longue que prévue, j’ai pris directement la direction du Nord, sans passé par la case midad del mundo.
Mes pas, ou plutôt les bus, m’ont conduit à Otavalo, à 2h de Quito et à Ibarra, à 45 minutes de plus.

Hier fut une journée très chargée. Le matin a 8h j’avais rendez vous avec le train le plus fou du monde d’après le routard: El Tren de la Libertad.
En fait un ancien bus monté sur roues de train et empruntant les rails d’une voie maintenant inutilisée par les transports classiques.

Il emmène dans un autre monde, d’un autre temps! Traversée de champs de cannes à sucre, de villages, de tunnels et de ponts surplombant des rios a plu de 200m de contrebas…





Très joli et agréable!
Retour à l’arrière d’une camionnette d’un local le bus tardant un peu trop. Epique!
Dans cette région la population est en majorité noire car au 16 ème et 17è me siecle bon nombre d'escalves africains ont été amené dans cette partie de l'equateur pour la culture de canne á sucre. Reste leurs descendants et une culture métisée afro-indigène.
Pas le temps de trainer, car je veux aller au plus grand marché d’équateur à Otavalo, qui se tient tous les samedis. Immense, de l’artisanat (assez cher du fait du dollar) très joli à perte de vue, des touristes mais aussi des locaux venus faire leurs courses sur le partie moins touristique du marché…
Et finalement le soir j’ai assisté à un spectacle assez particulier, sport national en Equateur : le combat de coqs! Les gens y viennent avec leur coq ou pour parier sur les combats. Les coqs sont équipés de petits couteau que l'on fixe sur leurs pattes


Je pense découvrir aujourd’hui la mitad del mundo, à 1h d’Otavalo, ou j’espère passer la nuit et la journée de demain! Avant de rentrer dormir sur Quito car j’ai un avion Mardi soir pour CUBA!!!!
Il me tarde vraiment d’y aller pour voir de mes propres yeux ce pays si controversé et mythique! Même si j’avoue aussi que j’ai très envie aussi de rentrer retrouver les miens. Mais je veux vraiment pofiter des derniers instants de mon voyage: plage, plongée j’espère, cigare et révolution. Hasta la victoria, siempre!
P.S.: J’ai acheté un nouvel appareil, le moins cher possible dans les potables, qui me permettra d’immortaliser quelques scènes cubaines, mais malheureusement celui-ci est de mauvaise qualité donc je n’ai aucun plaisir à prendre des photos… D’où très peu de photos de l’équateur!!